L'entre-deux fêtes est toujours une période transitionnelle assez bizarre. On est fatigué d'avoir fêté, si j'avais la télé je serais surement bombardé de publicités qui m'ordonnent littéralement d'aller me ruer dans les enclos à rabais pour acheter le dernier bidule a 70% de réduction. Mais curieusement, en cette année 2007, j'ai décidé depuis juillet que la télé serait désormais absente de ma vie. Il me reste bien une petite télé 13 pouces-combiné VHS quelque part, mais pas de fil branché dedans. Depuis juillet, j'ai économisé 180$ de frais de cable, et je m'en porte très bien. Plus de publicités qui m'affecte le subconscient, pas d'émissions insipides, pas d'horaire fixé par l'émission qui passe pendant l'heure du souper, des devoirs, etc...bref, depuis que je n'ai plus de télé, je travailles pour moi, et je sens que plusieurs choses de ma vie avancent agréablement bien. Planchers refaits et vernis, ménage de longue date en bonne voie d'être terminé, j'ai même pris tout le temps pour réécouter ces vieux disques qui dormaient tranquillement dans les tablettes.. Et dire que je payais pour regarder des publicités qui me vendaient les mérites de produits que je n'ai même pas besoin. On devrait nous fournir le cable gratis, et ca serait les publicités qui payeraient pour!
En attendant, je me repose avec mes enfants, et je profite du temps qu'ils sont avec moi car le temps achève, ils s'en retournent chez leur mère pour le jour de l'an. Aujourd'hui, c'était le départ de chez Douce pour ma maison. Les deux voitures croulaient sous les cadeaux, restants de bouffe à amener, linge d'hiver, et autres babioles pour le séjour chez nous. Ils auront le loisir de tester leur nouvelle manette, de monter leur bidules légos barakis, et Exo-force, de jouer avec leur million et demi de voitures hot-wheel, et leur super machin auto-helico-glisseur tranformable. Trop de cadeaux, pour si peu de temps. Peut-être que Douce et moi auront aussi le temps de passer un petit moment agréable entre deux jeux.. Rien de plus amusant de s'amuser avec les enfants, au lieu de leur dire quoi faire ou surtout quoi ne pas faire...
Aucun horaire, aucun stress, la seule tâche à faire c'est de passer à travers la journée. Cool.
jeudi 27 décembre 2007
mercredi 26 décembre 2007
Re-veillons.
Le matin du 25 ne fut pas tranquille. Les enfants avaient hâte de se réveiller, malgré leur heure de coucher tardive. Sans doute l'appat des manettes de jeu et les promesses d'une quantité quasi-infinie de nouveaux jeux sur l'ordi les empêchaient de trouver un quelconque intérêt en quelque chose d'aussi banal que le sommeil. Et nous aussi, devions nous lever un peu plus tôt que nous aurions voulu, la grand-mère paternelle ayant elle-même convoqués toute la famille à un brunch de noël. Quelques hésitations matinales habituelles et nous voila repartis pour l'aventure familiale, en voitures séparées.
L'accueil toujours chaleureux de ma mère ne manquait pas à l'appel. Il faisait une chaleur réconfortante, les fourneaux marchaient à fond de train depuis un bout, la table croulait sous son habituelle quantité régimentaire de nourriture. Et le sapin semblait flotter dans un océan de cadeaux. L'air était saturé d'une euphorie contagieuse et tout le monde était content de se retrouver, de se raconter leur anectodes des précédentes réceptions de leur belle-parenté. Les enfants se racontaient les cadeaux extraordinaires qu'ils avaient recus la veille, et ceux qu'ils avaient voulus mais pas recus.
Une visite surprise du père-noël combla le manque éprouvé par mes enfants, qui avaient manqué la visite annuelle tant attendue la veille. Le père-noël avait manqué le rendez-vous, laissant quelques morceaux de biscuits, un verre de lait vide et des morceaux de carottes grugés. Le père noël donna les derniers cadeaux oubliés, et chacun apprécia les cadeaux recus, tattoos, bionicles, et autres cartes Yu-Gi-Yoh. Quelques jeux traditionnels et d'autres improvisés allait terminer la réception, et c'est une famille aux yeux réduits par la fatigue qui prendrait le chemin de la maison, pour prendre un peu d'air après toutes ces festivités.
Le souper passa inapercu, les enfants s'affairant à monter leur dernier joujou, des Exo-Forces. Une quantité astronomique de petits morceaux légos en aurait découragé plus qu'un, mais l'entêtement paternel allait avoir raison des pires terreurs légomaniaques qui promettaient tant d'amusement après la frustration du montage. Finalement, les enfants purent savourer cinq minutes avec le produit fini, avant de jouer au party de la gang de Mario, deuxième opus, avec leur cadeau préféré.
Le dodo promettait d'etre calme, la menace pesant sur la suppression de la partie de jeu vidéo sauvegardée si le silence n'était pas conservé. Douce se sentait lasse, et le lit fut réparateur.
L'accueil toujours chaleureux de ma mère ne manquait pas à l'appel. Il faisait une chaleur réconfortante, les fourneaux marchaient à fond de train depuis un bout, la table croulait sous son habituelle quantité régimentaire de nourriture. Et le sapin semblait flotter dans un océan de cadeaux. L'air était saturé d'une euphorie contagieuse et tout le monde était content de se retrouver, de se raconter leur anectodes des précédentes réceptions de leur belle-parenté. Les enfants se racontaient les cadeaux extraordinaires qu'ils avaient recus la veille, et ceux qu'ils avaient voulus mais pas recus.
Une visite surprise du père-noël combla le manque éprouvé par mes enfants, qui avaient manqué la visite annuelle tant attendue la veille. Le père-noël avait manqué le rendez-vous, laissant quelques morceaux de biscuits, un verre de lait vide et des morceaux de carottes grugés. Le père noël donna les derniers cadeaux oubliés, et chacun apprécia les cadeaux recus, tattoos, bionicles, et autres cartes Yu-Gi-Yoh. Quelques jeux traditionnels et d'autres improvisés allait terminer la réception, et c'est une famille aux yeux réduits par la fatigue qui prendrait le chemin de la maison, pour prendre un peu d'air après toutes ces festivités.
Le souper passa inapercu, les enfants s'affairant à monter leur dernier joujou, des Exo-Forces. Une quantité astronomique de petits morceaux légos en aurait découragé plus qu'un, mais l'entêtement paternel allait avoir raison des pires terreurs légomaniaques qui promettaient tant d'amusement après la frustration du montage. Finalement, les enfants purent savourer cinq minutes avec le produit fini, avant de jouer au party de la gang de Mario, deuxième opus, avec leur cadeau préféré.
Le dodo promettait d'etre calme, la menace pesant sur la suppression de la partie de jeu vidéo sauvegardée si le silence n'était pas conservé. Douce se sentait lasse, et le lit fut réparateur.
No. Elle.
Fébrilité. Hâte. Les deux sentiments qui décrivent le plus mon état d'âme. Noël arrive, et c'est sans doute la fête qui me rends le plus heureux dans l'année. Les préparatifs pour le party de noël vont bon train, tout les morceaux se mettent en place. Les enfants ne tiennent plus en place, ils ont vu les cadeaux que le père noël leur avait laissé sous le sapin, pendant la nuit, soit-disant une journée à l'avance, pour s'éviter d'avoir trop de travail pendant le vrai soir de noël. Les enfants n'en étaient que plus heureux. Mais tout heureux qu'ils étaient, ils en étaient aussi très exités. Toutes les tactiques qu'il pouvaient utiliser pour réussir à toucher les cadeaux, les soupeser, essayer de déterminer le contenu du précieux présent, tous les moyens étaient bons.
Une petite sieste en mi-journée calmerait les esprits excités, et surtout, préparerait la longue journée qui s'en venait. En effet, le party se terminerait surement assez tard, autant pour les enfants que pour les parents. Dans l'attente des invités, il a fallu user d'ingéniosité pour trouver mille distractions afin d'empêcher les enfants de penser aux cadeaux. Les invités sont arrivés comme une bénédiction, et les enfants ont pu procéder au déballage en règle de leur cadeaux, soigneusement distribués par ordre croissant d'intérêt. Un livre-jeu, une valise de voitures, un crâne légo, des manettes de jeux, des gameboys, un grand succès pour l'industrie du jouet. L'effet sur les enfants a été boeuf. Les crânes ont enflammé les esprits, les livres-jeu suscité l'intéret, les autres jouets en promettaient autant pour plus tard.
La faim tenaillant les estomacs, le fourneau enfournait les entrées à une vitesse d'enfer. Petites saucisses, légumes, salades de pâtes, fromages en croute, chips, boissons, tout pour oublier que le souper s'en venait. Le karaoké allait faire durer l'attente, les invités se trouvant des talents de chanteurs, certains plus que d'autres.. Le souper allait bon train, les entrées trouvaient leur porte de sortie dans les estomacs des invités qui devenaient de plus en plus gris, boisson aidant. La grisaille s'emparait de quelques uns, les autres voyaient la vie de plus en plus colorée. Les enfants ont pu apprécier les charmes insoupsonnnés d'un cadeau dont l'utilité ne paraissait pas évidente du premier coup. Les charmes de l'émulation de leur console préférée combinée aux manettes d'ordinateurs recues en cadeau offrirent un divertissement aux enfants qui permirent aux plus grands de s'instaurer un petit climat quiet, une fois les invités les plus bruyants partis.
Guitare, chansons, le karaoké avait fait des petits. Pendant que les derniers restants du buffets mouraient de leur belle mort, le party tirait doucement sur la fin. Pendant que les enfants jouaient leur troisième dernière partie et se préparaient au dodo, les derniers party-cipants troquaient la boisson alcoolisée pour celle qui allaient leur permettre de rejoindre leur domicile en toute quiétude. Le dernier à partir devrait m'affronter au jeu vidéo de son choix. Je me suis fait avoir au golf, et au hockey. Quand même, je pus profiter du moment agréable d'avoir un compétiteur à ma taille, et même plus fort que moi, ce qui est rare. Je ne joue habituellement pas a autre jeu que les courses, alors le hockey etait loin d'être mes compétences. Ce fut amusant. Douce avait choisi d'aller commencer son repos avant moi, et je la réveillai lorsque j'ai moi-même été chercher un peu de repos.
Une petite sieste en mi-journée calmerait les esprits excités, et surtout, préparerait la longue journée qui s'en venait. En effet, le party se terminerait surement assez tard, autant pour les enfants que pour les parents. Dans l'attente des invités, il a fallu user d'ingéniosité pour trouver mille distractions afin d'empêcher les enfants de penser aux cadeaux. Les invités sont arrivés comme une bénédiction, et les enfants ont pu procéder au déballage en règle de leur cadeaux, soigneusement distribués par ordre croissant d'intérêt. Un livre-jeu, une valise de voitures, un crâne légo, des manettes de jeux, des gameboys, un grand succès pour l'industrie du jouet. L'effet sur les enfants a été boeuf. Les crânes ont enflammé les esprits, les livres-jeu suscité l'intéret, les autres jouets en promettaient autant pour plus tard.
La faim tenaillant les estomacs, le fourneau enfournait les entrées à une vitesse d'enfer. Petites saucisses, légumes, salades de pâtes, fromages en croute, chips, boissons, tout pour oublier que le souper s'en venait. Le karaoké allait faire durer l'attente, les invités se trouvant des talents de chanteurs, certains plus que d'autres.. Le souper allait bon train, les entrées trouvaient leur porte de sortie dans les estomacs des invités qui devenaient de plus en plus gris, boisson aidant. La grisaille s'emparait de quelques uns, les autres voyaient la vie de plus en plus colorée. Les enfants ont pu apprécier les charmes insoupsonnnés d'un cadeau dont l'utilité ne paraissait pas évidente du premier coup. Les charmes de l'émulation de leur console préférée combinée aux manettes d'ordinateurs recues en cadeau offrirent un divertissement aux enfants qui permirent aux plus grands de s'instaurer un petit climat quiet, une fois les invités les plus bruyants partis.
Guitare, chansons, le karaoké avait fait des petits. Pendant que les derniers restants du buffets mouraient de leur belle mort, le party tirait doucement sur la fin. Pendant que les enfants jouaient leur troisième dernière partie et se préparaient au dodo, les derniers party-cipants troquaient la boisson alcoolisée pour celle qui allaient leur permettre de rejoindre leur domicile en toute quiétude. Le dernier à partir devrait m'affronter au jeu vidéo de son choix. Je me suis fait avoir au golf, et au hockey. Quand même, je pus profiter du moment agréable d'avoir un compétiteur à ma taille, et même plus fort que moi, ce qui est rare. Je ne joue habituellement pas a autre jeu que les courses, alors le hockey etait loin d'être mes compétences. Ce fut amusant. Douce avait choisi d'aller commencer son repos avant moi, et je la réveillai lorsque j'ai moi-même été chercher un peu de repos.
dimanche 23 décembre 2007
Réflexion entre moi et toit.
Douce du matin, heureux calins. Le réveil au ralenti que j'anticipais depuis des mois était enfin arrivé. Journée libre, pas grand chose à faire.. a part préparer le party de noël du 24 décembre.
Dame Nature a décidément décidé de faire la vie dure cette année. L'age avancé de ma maison allait requérir un pelletage et un déglacage du toit avant les températures chaudes qui nous sont promises pour dimanche le 23. Cela en plus des préparatifs constituerait l'essentiel des trucs à faire. Le fils de Douce avait son patin matinal hebdomadaire en cette journée du samedi, alors le matin calin fut légèrement écourté par la séance du patin, mais en cette journée spéciale, on avait le droit de garder son pyjama à l'aréna. Le spectacle des enfants faisant du patin en pyjama et en jaquette valait son coup d'oeil. Manquait seulement les airs poqués caractéristiques aux levers en pyjamas, qui était remplacé par des sourires complices des enfants profitant du moment spécial pour montrer les habits de dodos dont ils étaient fiers à leur amis patineurs.
Douce et moi quittâme le patin pour se diriger vers mon logis centenaire, histoire de pelleter un peu. Douce allait faire un peu de ménage et de réaménagement, ou peut-etre même emballer les cadeaux qui restaient à emballer pendant que moi je montais d'un étage avec mes propres instruments de nettoyage, une pelle-racloir, et une pelle-traineau. Le toit avait un bon pied de neige accumulée condensée par les vents, et ramollie par le temps qui se réchauffait. Sans compter celle changée en glace, compressée par les chutes précédentes de mon autre toit. La tâche s'annoncait ardue, et longue. Beaucoup de temps avec moi même en perspective.
Peut-être que l'altitude affectait mon cerveau, mais tout en pelletant mon toit, mon esprit entra dans un état second. Le froid léger combiné à une activitée répétitive et le petit sentiment de vertige en déversant la neige sur le bord eurent un effet engourdissant pour mes facultées cérébrales, et mes pensées se mélangèrent en toutes sortes de sujets divers, en se déconnectant progressivement du corps qui continuait à effectuer cette tâche ingrate.
Je pensai à Douce, qui s'affairait dans la maison. L'ayant laissée à elle-même dans ma maison, qu'avait-elle bien pu trouver pour s'occuper.. Et c'était l'anniversaire de naissance de mes garcons jumeaux. Étaient-ils en train de souffler leur bougies, ou d'ouvrir leurs cadeaux, savouraient-ils des gateries d'anniversaires ou étaient-ils tout bêtement en train de jouer avec leur nouveaux jouets. Je m'imaginais mes enfants en train de s'amuser avec des petites figurines des pirates des caraibes, de s'inventer des mondes fantastiques avec des blocs légos, de faire des courses interminables avec leurs voitures. Je pensai également à mon amie J., celle qui rêvait de faire carrière de chanteuse country. Aurais-je l'occasion de l'inviter à mon rendez-vous karaoké bi-mensuel? Que penserais Douce de l'invitation de cette amie? En serait-elle contente?
La neige avait pratiquement rejoint le niveau du sol, restait quelques pelletées gelées sur le toit de goudron, pelletées qui allaient attendre la fonte promise pour le lendemain. Je n'avais pas réussi à déglacer complètement la gouttière, cela irait à demain matin. Mon cerveau se reconnectant progressivement avec mes membres, ces derniers l'avisaient de leurs faiblesses; j'étais épuisé par le pelletage.
De retour à l'intérieur, j'eus au moins la réponse à l'une de mes divaguations. Douce jasait sur internet, avec ses contacts de MSN. Elle s'était reposée un peu pendant que je m'activais sur le toit. Elle était aux dernières nouvelles de ses amies d'Europe, et d'un peu moins loin. Elle était de bonne humeur. C'était l'essentiel. Restait les cadeaux à emballer, ce qui se fit en un éclair. Gameboys, manettes de jeu, cadeaux de ma Douce, tout était maintenant prêt pour le dessous du sapin. Sapin qui n'était pas localisé dans ma maison, mais à la demeure de Douce. Les cadeaux prirent donc le chemin d'une caisse de carton.
Après un souper légèrement arrosé, et avoir classé les quelques 300 CD et DVD dans leur nouvel étui, restait à finir la soirée par un petit film, bien collé au lit avec Douce.
Nuit.
Matin.
Réveil tout en luxure, Douce et moi d'un commun accord se levèrent pour déjeuner. Un bruit singulier m'alerta, craignant que ce ne soit mauvais augure, je me précipitai au salon. Ma maison était triste. Elle pleurait de la fenêtre. Sans doute que la douce température annoncée la rendait morose, ou encore elle en pleurait de joie. Toujours est-il qu'il fallait mettre un terme à ce chagrin avant qu'il n'attaque le divan, ou pourrisse le plancher. Probablement que la neige en tran de fondre s'infiltrait par un quelconque interstice du toit, et coulait par le cadre de la fenêtre du salon. Urgence pelletage! Douce en profiterait pour prendre un bain...
Armé de ma pelle-racloir, j'entrepris de terminer de nettoyer la neige qui avait fondue pendant la nuit, et de vider l'étang de larmes qui s'était accumulé au bout du toit, englacé par une grosse accumulation dans la gouttière. Un peu de hache et de sel, l'affaire serait réglée en un rien de temps. Le déjeuner qui suivit était un vrai régal, et il nous permettrait de tenir jusqu'au souper.
Destination: Karaoké!
Vêtus de nos chapeaux-bonhommes de neiges, le karaoké allait une fois de plus être la victime de mes pitreries, et des applaudissements de Douce, qui appréciait beaucoup les singeries que je prenais un malin plaisir à faire, devant une foule qui en redemandait en rigolant. Blue Christmas de Elvis Presley et Fantastique des Denis Drolets subirent une refonte, dont Elvis lui-même aurait été fier. Je fis mon tabac habituel.
Avec toute la hâte qui me restait, la seule chose qui manquait à ma journée arriva vers 5hrs pm, mes 3 enfants qui allaient passer Noël chez Douce avec moi s'empressèrent d'embarquer dans mon bolide qui eut l'excellente idée de prendre le chemin du retour. Apres une salade bien méritée les petits baignés, l'histoire racontée, je me retrouvai assis au salon, le père noël passé, et Douce qui me regardait amoureusement, assise sur le divan, avec une petite pointe d'impatience dans son regard. Blog quand tu me tiens... Ok. Fini.
Dame Nature a décidément décidé de faire la vie dure cette année. L'age avancé de ma maison allait requérir un pelletage et un déglacage du toit avant les températures chaudes qui nous sont promises pour dimanche le 23. Cela en plus des préparatifs constituerait l'essentiel des trucs à faire. Le fils de Douce avait son patin matinal hebdomadaire en cette journée du samedi, alors le matin calin fut légèrement écourté par la séance du patin, mais en cette journée spéciale, on avait le droit de garder son pyjama à l'aréna. Le spectacle des enfants faisant du patin en pyjama et en jaquette valait son coup d'oeil. Manquait seulement les airs poqués caractéristiques aux levers en pyjamas, qui était remplacé par des sourires complices des enfants profitant du moment spécial pour montrer les habits de dodos dont ils étaient fiers à leur amis patineurs.
Douce et moi quittâme le patin pour se diriger vers mon logis centenaire, histoire de pelleter un peu. Douce allait faire un peu de ménage et de réaménagement, ou peut-etre même emballer les cadeaux qui restaient à emballer pendant que moi je montais d'un étage avec mes propres instruments de nettoyage, une pelle-racloir, et une pelle-traineau. Le toit avait un bon pied de neige accumulée condensée par les vents, et ramollie par le temps qui se réchauffait. Sans compter celle changée en glace, compressée par les chutes précédentes de mon autre toit. La tâche s'annoncait ardue, et longue. Beaucoup de temps avec moi même en perspective.
Peut-être que l'altitude affectait mon cerveau, mais tout en pelletant mon toit, mon esprit entra dans un état second. Le froid léger combiné à une activitée répétitive et le petit sentiment de vertige en déversant la neige sur le bord eurent un effet engourdissant pour mes facultées cérébrales, et mes pensées se mélangèrent en toutes sortes de sujets divers, en se déconnectant progressivement du corps qui continuait à effectuer cette tâche ingrate.
Je pensai à Douce, qui s'affairait dans la maison. L'ayant laissée à elle-même dans ma maison, qu'avait-elle bien pu trouver pour s'occuper.. Et c'était l'anniversaire de naissance de mes garcons jumeaux. Étaient-ils en train de souffler leur bougies, ou d'ouvrir leurs cadeaux, savouraient-ils des gateries d'anniversaires ou étaient-ils tout bêtement en train de jouer avec leur nouveaux jouets. Je m'imaginais mes enfants en train de s'amuser avec des petites figurines des pirates des caraibes, de s'inventer des mondes fantastiques avec des blocs légos, de faire des courses interminables avec leurs voitures. Je pensai également à mon amie J., celle qui rêvait de faire carrière de chanteuse country. Aurais-je l'occasion de l'inviter à mon rendez-vous karaoké bi-mensuel? Que penserais Douce de l'invitation de cette amie? En serait-elle contente?
La neige avait pratiquement rejoint le niveau du sol, restait quelques pelletées gelées sur le toit de goudron, pelletées qui allaient attendre la fonte promise pour le lendemain. Je n'avais pas réussi à déglacer complètement la gouttière, cela irait à demain matin. Mon cerveau se reconnectant progressivement avec mes membres, ces derniers l'avisaient de leurs faiblesses; j'étais épuisé par le pelletage.
De retour à l'intérieur, j'eus au moins la réponse à l'une de mes divaguations. Douce jasait sur internet, avec ses contacts de MSN. Elle s'était reposée un peu pendant que je m'activais sur le toit. Elle était aux dernières nouvelles de ses amies d'Europe, et d'un peu moins loin. Elle était de bonne humeur. C'était l'essentiel. Restait les cadeaux à emballer, ce qui se fit en un éclair. Gameboys, manettes de jeu, cadeaux de ma Douce, tout était maintenant prêt pour le dessous du sapin. Sapin qui n'était pas localisé dans ma maison, mais à la demeure de Douce. Les cadeaux prirent donc le chemin d'une caisse de carton.
Après un souper légèrement arrosé, et avoir classé les quelques 300 CD et DVD dans leur nouvel étui, restait à finir la soirée par un petit film, bien collé au lit avec Douce.
Nuit.
Matin.
Réveil tout en luxure, Douce et moi d'un commun accord se levèrent pour déjeuner. Un bruit singulier m'alerta, craignant que ce ne soit mauvais augure, je me précipitai au salon. Ma maison était triste. Elle pleurait de la fenêtre. Sans doute que la douce température annoncée la rendait morose, ou encore elle en pleurait de joie. Toujours est-il qu'il fallait mettre un terme à ce chagrin avant qu'il n'attaque le divan, ou pourrisse le plancher. Probablement que la neige en tran de fondre s'infiltrait par un quelconque interstice du toit, et coulait par le cadre de la fenêtre du salon. Urgence pelletage! Douce en profiterait pour prendre un bain...
Armé de ma pelle-racloir, j'entrepris de terminer de nettoyer la neige qui avait fondue pendant la nuit, et de vider l'étang de larmes qui s'était accumulé au bout du toit, englacé par une grosse accumulation dans la gouttière. Un peu de hache et de sel, l'affaire serait réglée en un rien de temps. Le déjeuner qui suivit était un vrai régal, et il nous permettrait de tenir jusqu'au souper.
Destination: Karaoké!
Vêtus de nos chapeaux-bonhommes de neiges, le karaoké allait une fois de plus être la victime de mes pitreries, et des applaudissements de Douce, qui appréciait beaucoup les singeries que je prenais un malin plaisir à faire, devant une foule qui en redemandait en rigolant. Blue Christmas de Elvis Presley et Fantastique des Denis Drolets subirent une refonte, dont Elvis lui-même aurait été fier. Je fis mon tabac habituel.
Avec toute la hâte qui me restait, la seule chose qui manquait à ma journée arriva vers 5hrs pm, mes 3 enfants qui allaient passer Noël chez Douce avec moi s'empressèrent d'embarquer dans mon bolide qui eut l'excellente idée de prendre le chemin du retour. Apres une salade bien méritée les petits baignés, l'histoire racontée, je me retrouvai assis au salon, le père noël passé, et Douce qui me regardait amoureusement, assise sur le divan, avec une petite pointe d'impatience dans son regard. Blog quand tu me tiens... Ok. Fini.
samedi 22 décembre 2007
Trilogie de la folie de Noël, suite et fin
Pourquoi la folie de noël, me direz vous? À date, rien de fou... C'est comme dans les bonnes trilogies cinématographiques que dans la troisième partie que tout prends son sens. Alors voici la conclusion tant attendue de cette saga de la folie de Noël. Malheureusement (ou heureusement, dépendamment du point de vue) pas de Darth-vador-qui-annonce-a-Luke-Skywalker-qu'il-est-son-père, ni de personnage de film d'horreur qui va-vraiment-mourir-une-fois-pour-toutes-parce-qu'on-l'a-décapité-et-arraché-le-coeur-puis-brulés-les-restants-pour-ensuite-asperger-de-l'eau-bénite-sur-les-cendres.
La journée débuta une fois de plus en retard, la température extra-lit-aire frôlant le point de congélation absolu avait raison de mes bonnes volontées d'arriver en avance. Ce léger retard occasionna une suite d'évènement en chaîne qui allait perturber la journée entière. Lever, douche, linge, auto, en route pour le bureau, retour à la maison à mi-chemin, portefeuille oublié, re-en route pour le bureau, explosion d'une cannette de thé glacée ayant passé la nuit dans l'auto, arrivée en retard. En ce matin particulier, au travail, c'était la journée consacrée à Noël. Plusieurs activités spéciales allaient avoir lieu, et autant de collègues allaient avoir besoin de mes services pour démarrer leur activités. Ca y est! M'en allant dans le couloir tranquillement dans la direction de la première collège, Mme D. je fus arrêté par Signor P. qui m'avisait tranquillement de manière urgente que le projecteur qu'il avait réservé pour son film manquait à l'appel. Après une rapide vérification dans le système de réservations, c'était effectivement vrai, et il a fallu descendre un autre projecteur du niveau supérieur pour combler ce besoin, ce qui occasionna un délai pour Mme D. qui m'attendais toujours. Une fois le projecteur installé et le film parti, j'allais pouvoir satisfaire les attentes de Mme D.
Le projecteur manquant gisait inerte au milieu d'une foule de jeunes avides de commencer leur activité. Rapidement, j'en tirai la conclusion qu'il avait été amené la par le chiffre de nuit, qui s'était servi du playstation 2 installé dessus la veille. Ca irait plus vite pour l'installer sur l'écran géant. Mme D. avait eu visiblement de l'aide d'autres personnes compétentes pour le branchement de ses jeux, car 3 télévisions étaient en état de marche, et les jeunes étaient fébriles en attendant leur tour de jouer. Restait le Guitar Heroes à installer à l'auditorium pour compléter le tout. J'allais cependant faire face à une foule anxieuse de débuter le jeu, qui me fit perdre un temps précieux et qui retarda mon installation. Mes adapteurs concoctés la veille ne fonctionnaient pas de manière satisfaisante, mais c'était mieux que les haut-parleurs défoncés la veille qui était sur le chariot. Guitar Heroes sur écran géant, c'est quelque chose!!!
Les premières activités passées, ce serait le temps d'installer l'autre projecteur sur la scène pour le karaoké qui allait venir ensuite. En un rien de temps, mon portable dans la régie affichait une chanson d'Elvis Presley sur l'écran de la scène, grâce au deuxième adapteur qui fonctionnait beaucoup mieux que le premier. Pendant que S. prenait des photos avec mon appareil, Mister J. est arrivé déguisé en femme pour le spectacle qui allait suivre. Le karaoké eut un succès boeuf, malgré la maigre sélection de karaokés francais que je disposais. Les jeunes ont bien participé.
La folie étant terminée, restait à ramasser. La promesse d'un souper au resto avec Douce me remplissait de joie, et je n'en pouvais plus de regarder l'aiguille de ma montre numérique avancer en attendant le moment. J'avais l'intention d'aller voir ma soeurette à son travail pour aller récupérer mes souliers oubliés chez elle lors de la fête surprise de son chum. La coiffeuse m'attendais ensuite pour redonner une apparence de contrôle a mes tifs qui ces derniers temps avaient l'air d'une forêt, vierge de poux. J'avais tellement de cheveux que ma barbe poussait plus vite, sans doute qu'elle était jalouse de ses cousins chevelus. Je demandai à la coiffeuse de me faire un petit spécial, des pics dans le gel. Ce qu'elle fit avec son sourire éclatant habituel.
De retour à la maison, après la petite bière de noël traditionnelle avec le patron et les employés de la maintenance, j'anticipais avec joie de voir l'air de Douce quand elle verrait ma nouvelle tête. Ma barbe n'avait plus de raison d'être jalouse, alors elle se fit un plaisir de se laisser raser. J'échangeai rapidement mes pantalons et mon manteau aspergé au matin par le thé glacé explosif, et j'était prêt à surprendre ma Douce. Mon effet ne rata pas son but, et Douce fut atteinte de plein fouet par mon charme masculin. Elle en décida même de se maquiller, de mettre son plus bel ensemble, et de troquer son intention d'aller manger une poutine au resto du coin par un beau souper romantique dans une brochetterie grecque de la ville voisine.
Que de délices autant culinaires que charnels dans cette belle journée ensoeillée. La soirée se termina par un peu de construction de mon crâne (pour ceux qui comprennent pas, je cognais des clous) devant le deuxième opus de la Matrice, après avoir comblé de bonheur ma Douce et qu'elle se soit endormie, encuillerée dans mon dos. Mais pour elle, ca n'était pas fini, car j'allais semble-t-il lui jaser ca une bonne partie de la nuit, tout somnambule que j'étais...
La journée débuta une fois de plus en retard, la température extra-lit-aire frôlant le point de congélation absolu avait raison de mes bonnes volontées d'arriver en avance. Ce léger retard occasionna une suite d'évènement en chaîne qui allait perturber la journée entière. Lever, douche, linge, auto, en route pour le bureau, retour à la maison à mi-chemin, portefeuille oublié, re-en route pour le bureau, explosion d'une cannette de thé glacée ayant passé la nuit dans l'auto, arrivée en retard. En ce matin particulier, au travail, c'était la journée consacrée à Noël. Plusieurs activités spéciales allaient avoir lieu, et autant de collègues allaient avoir besoin de mes services pour démarrer leur activités. Ca y est! M'en allant dans le couloir tranquillement dans la direction de la première collège, Mme D. je fus arrêté par Signor P. qui m'avisait tranquillement de manière urgente que le projecteur qu'il avait réservé pour son film manquait à l'appel. Après une rapide vérification dans le système de réservations, c'était effectivement vrai, et il a fallu descendre un autre projecteur du niveau supérieur pour combler ce besoin, ce qui occasionna un délai pour Mme D. qui m'attendais toujours. Une fois le projecteur installé et le film parti, j'allais pouvoir satisfaire les attentes de Mme D.
Le projecteur manquant gisait inerte au milieu d'une foule de jeunes avides de commencer leur activité. Rapidement, j'en tirai la conclusion qu'il avait été amené la par le chiffre de nuit, qui s'était servi du playstation 2 installé dessus la veille. Ca irait plus vite pour l'installer sur l'écran géant. Mme D. avait eu visiblement de l'aide d'autres personnes compétentes pour le branchement de ses jeux, car 3 télévisions étaient en état de marche, et les jeunes étaient fébriles en attendant leur tour de jouer. Restait le Guitar Heroes à installer à l'auditorium pour compléter le tout. J'allais cependant faire face à une foule anxieuse de débuter le jeu, qui me fit perdre un temps précieux et qui retarda mon installation. Mes adapteurs concoctés la veille ne fonctionnaient pas de manière satisfaisante, mais c'était mieux que les haut-parleurs défoncés la veille qui était sur le chariot. Guitar Heroes sur écran géant, c'est quelque chose!!!
Les premières activités passées, ce serait le temps d'installer l'autre projecteur sur la scène pour le karaoké qui allait venir ensuite. En un rien de temps, mon portable dans la régie affichait une chanson d'Elvis Presley sur l'écran de la scène, grâce au deuxième adapteur qui fonctionnait beaucoup mieux que le premier. Pendant que S. prenait des photos avec mon appareil, Mister J. est arrivé déguisé en femme pour le spectacle qui allait suivre. Le karaoké eut un succès boeuf, malgré la maigre sélection de karaokés francais que je disposais. Les jeunes ont bien participé.
La folie étant terminée, restait à ramasser. La promesse d'un souper au resto avec Douce me remplissait de joie, et je n'en pouvais plus de regarder l'aiguille de ma montre numérique avancer en attendant le moment. J'avais l'intention d'aller voir ma soeurette à son travail pour aller récupérer mes souliers oubliés chez elle lors de la fête surprise de son chum. La coiffeuse m'attendais ensuite pour redonner une apparence de contrôle a mes tifs qui ces derniers temps avaient l'air d'une forêt, vierge de poux. J'avais tellement de cheveux que ma barbe poussait plus vite, sans doute qu'elle était jalouse de ses cousins chevelus. Je demandai à la coiffeuse de me faire un petit spécial, des pics dans le gel. Ce qu'elle fit avec son sourire éclatant habituel.
De retour à la maison, après la petite bière de noël traditionnelle avec le patron et les employés de la maintenance, j'anticipais avec joie de voir l'air de Douce quand elle verrait ma nouvelle tête. Ma barbe n'avait plus de raison d'être jalouse, alors elle se fit un plaisir de se laisser raser. J'échangeai rapidement mes pantalons et mon manteau aspergé au matin par le thé glacé explosif, et j'était prêt à surprendre ma Douce. Mon effet ne rata pas son but, et Douce fut atteinte de plein fouet par mon charme masculin. Elle en décida même de se maquiller, de mettre son plus bel ensemble, et de troquer son intention d'aller manger une poutine au resto du coin par un beau souper romantique dans une brochetterie grecque de la ville voisine.
Que de délices autant culinaires que charnels dans cette belle journée ensoeillée. La soirée se termina par un peu de construction de mon crâne (pour ceux qui comprennent pas, je cognais des clous) devant le deuxième opus de la Matrice, après avoir comblé de bonheur ma Douce et qu'elle se soit endormie, encuillerée dans mon dos. Mais pour elle, ca n'était pas fini, car j'allais semble-t-il lui jaser ca une bonne partie de la nuit, tout somnambule que j'étais...
jeudi 20 décembre 2007
Folie de Noël Partie 2
Aujourd'hui jeudi, après une courte nuit, le réveil fut froid. Décidément, les bras de ma Douce me manquent. Et la froidure de l'hiver frappe fort quand on décide de respecter l'accord de Kyoto, et les recommandations d'hydro-québec de descendre les thermostats à 17 la nuit. Il me semble que 17 c'est pas si froid que ca l'été...
Curieusement, j'eu un accès de lacheté ce matin, omettant de nettoyer correctement la neige accumulée sur l'auto. Mais par un curieux hasard, cette lacheté m'amena la solution que je cherchais depuis un bout pour une séquence vidéo de capotage. La neige obstruant la lunette arrière qui empêche de voir l'extérieur de la voiture, le capotage filmé à l'aide d'une caméra placée dans le style d'une caméra de taxi, adjacente au rétroviseur me permettrait grâce à de talentueux acteurs de simuler un capotage sans aucun dommage pour la voiture . Une fois rendu au travail et les acteurs dirigés, la séquence fut en boite en un rien de temps. Restait à trouver une maîtresse qui se prêterait au jeu de la dernière mort que j'avais à filmer; celle du personnage de l'anglais, qui trépasse dans la luxure sur le lit d'une chambre d'hotel.
Ma bonne amie S. accepta avec joie et malgré son excellente idée d'avoir plus d'une maîtresse dans la chambre, aucune autre femme ne voulut jouer le jeu. La séquence fut filmée en 5 minutes, après avoir rapidement adapté la chambre d'amis de la communauté pour la transformer en chambre d'hotel. R. faisait un excellent mort. Dommage cependant que son concept de luxure inclus une chemise et des bas... J'ai déjà vu pire...
Quelques préparatifs à terminer pour la journée de noël de demain m'amenèrent à faire de la soudure une bonne partie de l'après-midi, créant de toutes pièces des adapteurs pour des cables multi-paires rendus multi-fonctions pour l'occasion. Le Karaoké est prêt, restera à brancher Guitar Heroes sur grand écran pour compléter le tout. Demain, je devrai arriver tôt pour installer le tout.
C'est fou ce qu'on peut se faire comme idées quand on frappe un mur avec un fournisseur. Récemment, ayant passé une commande de 4 manettes chez un obscur fournisseur Internet, et ayant recu une boite en contenant seulement 3, je commencais à penser que je m'étais fait avoir, et que je n'aurais pas la quatrième manette à temps pour noël. Plusieurs téléphones à la compagnie en question n'eurent comme résultat que la possibilité parler aux multiples boîtes vocales. Ce matin, miracle, la secrétaire vint me retrouver, brandissant la boite à bout de bras. Noël était sauvé! J'en profitai pour appeler un autre fournisseur local de pièces de souffleur, tant qu'a y être, question de faire valider le dicton jamais 2 sans 3. Le commerce avec lequel j'avais passé la commande du morceau m'avisait que le morceau rentrerais d'ici 1 mois. Le concurrent que je visitai donc ce soir avait le morceau en stock, et je me retrouvai dans la voiture en direction de la maison avec un large sourire, et mon nouveau morceau neuf sur le siège voisin. Ma soirée allait être consacrée à installer le morceau et déblayer ma cour, une fois pour toutes!!!
Une fois le fonctionnement compris et la réinstallation du morceau complétée, je pus enfin croire que j'allais pouvoir souffler ma cour. Ce qui fut effectivement le cas, jusqu'à ce que je recule le souffleur et que la chaine déraille. Un retour rapide dans le garage pour remettre la chaîne en place, et c'était reparti. Enfin! Oups, j'ai parlé trop vite... En train de faire la finition, la chaîne dérailla encore. Sans doute que mes bearings sont usés, car l'essieu se promène dangeureusement de droite à gauche, ce qui occasionne le déraillement. Hmmm. Autres réparations en vue.... Assez de malheurs pour aujourd'hui, temps de dormir!
Curieusement, j'eu un accès de lacheté ce matin, omettant de nettoyer correctement la neige accumulée sur l'auto. Mais par un curieux hasard, cette lacheté m'amena la solution que je cherchais depuis un bout pour une séquence vidéo de capotage. La neige obstruant la lunette arrière qui empêche de voir l'extérieur de la voiture, le capotage filmé à l'aide d'une caméra placée dans le style d'une caméra de taxi, adjacente au rétroviseur me permettrait grâce à de talentueux acteurs de simuler un capotage sans aucun dommage pour la voiture . Une fois rendu au travail et les acteurs dirigés, la séquence fut en boite en un rien de temps. Restait à trouver une maîtresse qui se prêterait au jeu de la dernière mort que j'avais à filmer; celle du personnage de l'anglais, qui trépasse dans la luxure sur le lit d'une chambre d'hotel.
Ma bonne amie S. accepta avec joie et malgré son excellente idée d'avoir plus d'une maîtresse dans la chambre, aucune autre femme ne voulut jouer le jeu. La séquence fut filmée en 5 minutes, après avoir rapidement adapté la chambre d'amis de la communauté pour la transformer en chambre d'hotel. R. faisait un excellent mort. Dommage cependant que son concept de luxure inclus une chemise et des bas... J'ai déjà vu pire...
Quelques préparatifs à terminer pour la journée de noël de demain m'amenèrent à faire de la soudure une bonne partie de l'après-midi, créant de toutes pièces des adapteurs pour des cables multi-paires rendus multi-fonctions pour l'occasion. Le Karaoké est prêt, restera à brancher Guitar Heroes sur grand écran pour compléter le tout. Demain, je devrai arriver tôt pour installer le tout.
C'est fou ce qu'on peut se faire comme idées quand on frappe un mur avec un fournisseur. Récemment, ayant passé une commande de 4 manettes chez un obscur fournisseur Internet, et ayant recu une boite en contenant seulement 3, je commencais à penser que je m'étais fait avoir, et que je n'aurais pas la quatrième manette à temps pour noël. Plusieurs téléphones à la compagnie en question n'eurent comme résultat que la possibilité parler aux multiples boîtes vocales. Ce matin, miracle, la secrétaire vint me retrouver, brandissant la boite à bout de bras. Noël était sauvé! J'en profitai pour appeler un autre fournisseur local de pièces de souffleur, tant qu'a y être, question de faire valider le dicton jamais 2 sans 3. Le commerce avec lequel j'avais passé la commande du morceau m'avisait que le morceau rentrerais d'ici 1 mois. Le concurrent que je visitai donc ce soir avait le morceau en stock, et je me retrouvai dans la voiture en direction de la maison avec un large sourire, et mon nouveau morceau neuf sur le siège voisin. Ma soirée allait être consacrée à installer le morceau et déblayer ma cour, une fois pour toutes!!!
Une fois le fonctionnement compris et la réinstallation du morceau complétée, je pus enfin croire que j'allais pouvoir souffler ma cour. Ce qui fut effectivement le cas, jusqu'à ce que je recule le souffleur et que la chaine déraille. Un retour rapide dans le garage pour remettre la chaîne en place, et c'était reparti. Enfin! Oups, j'ai parlé trop vite... En train de faire la finition, la chaîne dérailla encore. Sans doute que mes bearings sont usés, car l'essieu se promène dangeureusement de droite à gauche, ce qui occasionne le déraillement. Hmmm. Autres réparations en vue.... Assez de malheurs pour aujourd'hui, temps de dormir!
mercredi 19 décembre 2007
La folie de noël partie un
Doux matin, collé comme du miel à ma Douce, le choix était difficile entre les bras et le froid. Cependant, devoir appelant, la balance fini par pencher du coté du congélateur, non sans quitter le nid douillet avec regret. J'ai battu un record hebdomadaire en arrivant assez tôt au travail, ce qui me permis de tenter de filmer un capotage en bonne et due forme, vidéo nécessaire pour la pièce de théâtre du mois de janvier. La batterie de la caméra avait d'autres plans, et décida d'elle-même, telle un directeur de cinéma tyrannique, que la scène ne valait pas la peine d'être filmée.
Retour au bureau, la journée fut passée assez rapidement à préparer la fête de noël des étudiants, en ce vendredi prochain. Je serai animateur de Karaoké, avec l'aide de J. J'ai déjà hâte de démontrer mes talents devant une foule en délire. Je devais apprendre en fin de journée qu'au lieu de karaoketer deux fois, j'en serais réduit à une seule, l'activité ayant été surclassée par Guitar Heroes, et Dance Dance Revolution.
Etant sur le sujet, quel bonheur de pouvoir considérer comme "travail" une partie en bonne et du forme de Guitar Heroes. Devant être assuré du bon fonctionnement des jeux, et de la grosse télé floue qui était mise à la disposition des élèves, il a bien fallu "tester" le jeu, question de pouvoir "l'expliquer aux néophytes". Ce fut un long travail d'apprentissage acharné. Et que dire de Dance Dance Revolution. Sur écran géant. Une véritable torture...
Le temps de modifier un slogan nécessaire à une commandite de l'album des finissants et d'imprimer une épreuve de la page couverture, la journée était passée, avec pour seule anicroche la super nouvelle que ma pièce de souffleur serait disponible en fin de janvier. Et dire que je ne suis même pas sur que ca soit la bonne...
De retour à la maison, d'apétissants tortellinis finirent assez mal leur journée au fond de mon estomac. La soirée promettait d'être productive, mais devant secourir un ami dans le besoin, le bon samaritain que je suis passa 3 heures de sa précieuse soirée à réparer un ordinateur malade à distance. Le pelletage, l'emballage des cadeaux et autres allaient attendre, car j'entends mon lit qui m'appelle.... et Douce qui n'est pas en ligne... vite. Dodo!
Retour au bureau, la journée fut passée assez rapidement à préparer la fête de noël des étudiants, en ce vendredi prochain. Je serai animateur de Karaoké, avec l'aide de J. J'ai déjà hâte de démontrer mes talents devant une foule en délire. Je devais apprendre en fin de journée qu'au lieu de karaoketer deux fois, j'en serais réduit à une seule, l'activité ayant été surclassée par Guitar Heroes, et Dance Dance Revolution.
Etant sur le sujet, quel bonheur de pouvoir considérer comme "travail" une partie en bonne et du forme de Guitar Heroes. Devant être assuré du bon fonctionnement des jeux, et de la grosse télé floue qui était mise à la disposition des élèves, il a bien fallu "tester" le jeu, question de pouvoir "l'expliquer aux néophytes". Ce fut un long travail d'apprentissage acharné. Et que dire de Dance Dance Revolution. Sur écran géant. Une véritable torture...
Le temps de modifier un slogan nécessaire à une commandite de l'album des finissants et d'imprimer une épreuve de la page couverture, la journée était passée, avec pour seule anicroche la super nouvelle que ma pièce de souffleur serait disponible en fin de janvier. Et dire que je ne suis même pas sur que ca soit la bonne...
De retour à la maison, d'apétissants tortellinis finirent assez mal leur journée au fond de mon estomac. La soirée promettait d'être productive, mais devant secourir un ami dans le besoin, le bon samaritain que je suis passa 3 heures de sa précieuse soirée à réparer un ordinateur malade à distance. Le pelletage, l'emballage des cadeaux et autres allaient attendre, car j'entends mon lit qui m'appelle.... et Douce qui n'est pas en ligne... vite. Dodo!
mardi 18 décembre 2007
Travail? Quel travail?
Conscience. Cadran. 7:30 AM. Une décharge d'adrénaline parcourt soudain mon cerveau, réveillant en coup de sang tout le reste de mon corps. 7:30 AM! Je commence habituellement mon travail à cette heure trente là! Et cette fois-ci, pas moyen de blâmer la tempête! Le peignoir eut juste le temps d'atteindre mes épaules dénudées et les bottes mes 2 pieds avant que je me précipite dehors pour démarrer l'auto, histoire de la faire chauffer avant de partir. Mon micro moteur réussit à peine à réchauffer le bas de mon pare-brise en dedans de 15 minutes. Il ne m'en fallut guère plus pour évacuer les saletés accumulées pendant la dernière journée, d'un jet d'eau chaude.
Une fois assis dans l'auto, grelottant mais toujours sous l'effet de l'adrénaline matinale, j'embraye la première vitesse, et le soleil choisit précisément ce moment pour inonder mes globes oculaires et m'empêcher de voir le stop qui s'en venait. Approximativement, j'entrepris de passer l'intersection en regardant par l'interstice que le chauffage déficient avait créé. Sans tambour ni klaxons, je traversai l'intersection avec succès. Retenant mon souffle, je pus ainsi contrôler le taux d'humidité dans la voiture, ce qui aida à réduire la quantité de givre obstruant ma vision. J'arrivai sans encombres à mon travail, et mon retard sembla passer inaperçu. Yes!
Étant donné que je protège la partie de mon corps dont je me sers le plus avec l'aide d'une tuque, et que ce matin pressé l'avait laissé légèrement humide, mon reflet dans le moniteur me renvoya l'image de quelqu'un qui avait été victime d'une attaque de Pikachu. J'avais les cheveux ambitieux de toucher la lune. Chaque matin, je me demande quelle coiffure hétéroclite je vais avoir en enlevant ma tuque, et ces temps ci, c'est pire encore, remettant à une date ultérieure le rendez-vous chez une des seules personnes qui réussit à mettre un peu d'ordre dans ma tignasse; le salon de coiffure du coin. Ce matin, j'avais l'air de Sonic, le petit hérisson bleu, héros d'une série de dessins animés et de jeux vidéos.
Après avoir remis de l'ordre dans les notes que j'avais pris la veille, lors de la pratique de spectacle, j'eus à retoucher l'affiche que j'avais conçu pour ce spectacle, histoire de la faire paraître dans les journaux hebdomadaires de la région. Ceci fait, je constatai que mon tiroir de bureau ne fermait plus étanche et étant donné l'absence de M. B, je m'essayai à le réparer moi-même. 15 minutes plus tard, plus riche d'une expérience concluante, mon tiroir sous le bras, j'étais prêt à affronter n'importe quel commentaire désobligeant sur l'esthétique de ma réparation, mais c'est avec une légère déception que ne put montrer le fruit de mon travail à personne, ne rencontrant pas âme qui vive lors de mon trajet de retour de l'atelier de réparations. Le restant de la journée fut illuminé par une invitation spontanée de Douce, qui m'invitait à passer la soirée chez elle, me disant par la même occasion combien je lui manquais.
Après une rapide vérification de l'incompétence du magasin de pièces de souffleuse local, qui n'avait pas encore commandé ma pièce depuis une semaine, j'acceptai avec joie l'invitation à souper de ma Douce, emmenant avec moi le nécessaire pour l'accès à l'internet en simultané, accès que j'utilises présentement pour vous écrire ce blog. Après une petite partie de mon divertissement favori, soit Tétris Plus (toujours coincé au niveau 20), j'entends ma Douce qui m'invite à une nuit de délices passée dans ses bras..
Une fois assis dans l'auto, grelottant mais toujours sous l'effet de l'adrénaline matinale, j'embraye la première vitesse, et le soleil choisit précisément ce moment pour inonder mes globes oculaires et m'empêcher de voir le stop qui s'en venait. Approximativement, j'entrepris de passer l'intersection en regardant par l'interstice que le chauffage déficient avait créé. Sans tambour ni klaxons, je traversai l'intersection avec succès. Retenant mon souffle, je pus ainsi contrôler le taux d'humidité dans la voiture, ce qui aida à réduire la quantité de givre obstruant ma vision. J'arrivai sans encombres à mon travail, et mon retard sembla passer inaperçu. Yes!
Étant donné que je protège la partie de mon corps dont je me sers le plus avec l'aide d'une tuque, et que ce matin pressé l'avait laissé légèrement humide, mon reflet dans le moniteur me renvoya l'image de quelqu'un qui avait été victime d'une attaque de Pikachu. J'avais les cheveux ambitieux de toucher la lune. Chaque matin, je me demande quelle coiffure hétéroclite je vais avoir en enlevant ma tuque, et ces temps ci, c'est pire encore, remettant à une date ultérieure le rendez-vous chez une des seules personnes qui réussit à mettre un peu d'ordre dans ma tignasse; le salon de coiffure du coin. Ce matin, j'avais l'air de Sonic, le petit hérisson bleu, héros d'une série de dessins animés et de jeux vidéos.
Après avoir remis de l'ordre dans les notes que j'avais pris la veille, lors de la pratique de spectacle, j'eus à retoucher l'affiche que j'avais conçu pour ce spectacle, histoire de la faire paraître dans les journaux hebdomadaires de la région. Ceci fait, je constatai que mon tiroir de bureau ne fermait plus étanche et étant donné l'absence de M. B, je m'essayai à le réparer moi-même. 15 minutes plus tard, plus riche d'une expérience concluante, mon tiroir sous le bras, j'étais prêt à affronter n'importe quel commentaire désobligeant sur l'esthétique de ma réparation, mais c'est avec une légère déception que ne put montrer le fruit de mon travail à personne, ne rencontrant pas âme qui vive lors de mon trajet de retour de l'atelier de réparations. Le restant de la journée fut illuminé par une invitation spontanée de Douce, qui m'invitait à passer la soirée chez elle, me disant par la même occasion combien je lui manquais.
Après une rapide vérification de l'incompétence du magasin de pièces de souffleuse local, qui n'avait pas encore commandé ma pièce depuis une semaine, j'acceptai avec joie l'invitation à souper de ma Douce, emmenant avec moi le nécessaire pour l'accès à l'internet en simultané, accès que j'utilises présentement pour vous écrire ce blog. Après une petite partie de mon divertissement favori, soit Tétris Plus (toujours coincé au niveau 20), j'entends ma Douce qui m'invite à une nuit de délices passée dans ses bras..
lundi 17 décembre 2007
Neiges!
Neige, Neige. Tempête du nouveau siècle! En deux semaines, plus de 40 centimètres, et c'est pas encore l'hiver! Et question de me mettre en forme, mon souffleur décide d'être défectueux, et le morceau non disponible avant la semaine prochaine! Vive la pelle traîneau! Au moins quatres heures de workout GRATIS! Fini l'abonnement au centre de conditionnement! Et tiens pourquoi pas profiter de cette belle neige dure et neuve pour faire un beau fort aux enfants, pendant qu'ils glissent dans leur cabane juchée dans l'arbre.. Et Douce qui me concoctais une jolie surprise bien au chaud dans la maison, en décidant de réaménager la maison de facons à rendre mon nid douillet encore plus douillet!
Quand le froid nous pique, les consoles nous occupent. Mario avait préparé un petit party à quatre, pour les enfants, qui les occupèrent pendant le restant de l'avant-midi. Et en soirée, Astérix sur grand écran remplaca le retour des enfants chez leur mère, la tempête bloquant les routes, et une fois de plus, l'entrée de cour de ma maison. Un autre séance physique gratuite était prometteuse pour demain! Disons pelletage, glisse, et retour des enfants chez leur mère en perspective! Que de bonheur de voir les petits glisser en crazy carpet! Leur rires, leur yeux allumés, et leur expression de surprise lorsque la neige leur asperge le visage!
Après un petit goûter chez Douce, retour vers leur mère, ou plutôt leur mamie. Mère Biologique étant dans une mauvaise passe, avait besoin de quelques fins de semaine pour réorganiser sa vie, et celle de mes petits en sa nouvelle ancienne demeure...
La soirée s'est terminée agréablement par une pratique de pièce de théâtre, dont je fais la technique, à mon lieu de travail. Ce sera mémorable!!!
Quand le froid nous pique, les consoles nous occupent. Mario avait préparé un petit party à quatre, pour les enfants, qui les occupèrent pendant le restant de l'avant-midi. Et en soirée, Astérix sur grand écran remplaca le retour des enfants chez leur mère, la tempête bloquant les routes, et une fois de plus, l'entrée de cour de ma maison. Un autre séance physique gratuite était prometteuse pour demain! Disons pelletage, glisse, et retour des enfants chez leur mère en perspective! Que de bonheur de voir les petits glisser en crazy carpet! Leur rires, leur yeux allumés, et leur expression de surprise lorsque la neige leur asperge le visage!
Après un petit goûter chez Douce, retour vers leur mère, ou plutôt leur mamie. Mère Biologique étant dans une mauvaise passe, avait besoin de quelques fins de semaine pour réorganiser sa vie, et celle de mes petits en sa nouvelle ancienne demeure...
La soirée s'est terminée agréablement par une pratique de pièce de théâtre, dont je fais la technique, à mon lieu de travail. Ce sera mémorable!!!
dimanche 16 décembre 2007
Fêtes au carré, Prise 2
Plafond. Lit. Blanc. Réveil. Le temps que mes neurones se reconnectent, j'eu le temps de me remémorer les évènements de la veille. Glisse, montagne, repas, danse, musique.. Le matin s'annoncait actif. Ce midi, je recevait frère et soeur pour un repas de fête de mes jumeaux. Mère ne pouvait pas venir, un repas de noël irremplacable l'attendait. Mais elle en avait profité pour les fêter à leur réveil, alors c'était tout comme si elle avait été la. Douce était grise, et avait le teint verdâtre. Un entretien seul à seul avec le trone de céramique qui avait mal tourné sans doute... Je devais encore faire quelques commissions avant de partir chercher les petits.
Douce n'ayant pas totalement terminé sa conversation de salle de bains, il a bien fallu lui trouver un remplacant pour la route. Quelques arrêts pour jaser plus tard, les items de dernières minutes étaient achetés, les enfants joyeusement cordés dans la voiture, le chien et le chat de mère rattrappés, frère et soeur nous attendaient déjà à la maison pour la fête. Où était donc passé le temps? Quelques sourires arrangèrent les excuses de mon retard, et les effluves de mes poitrines de poulets eurent tôt fait de faire oublier le restant. Les cousins s'amusaient dans le salon, à monter le dernier bateau pirate recu chez Mère. Il manquait quelque chose. Ah oui. Lucien Hétu. Aucun noël ne peut être complet sans un peu de Lucien Hétu et son orgue magique.
Une petite bière pour dessert, et du gateau pour les enfants. Les cadeaux se retrouvèrent rapidement dévoilés, certains n'étant pas du tout emballés.. faute de temps sans doute.. (je vous laisse deviner lesquels). Dr. J. et Mr. T. apprécièrent leur nouveau véhicule modulaire, qui pouvait se transformer en jeep, en moto, en hélicoptère, en jet, ou n'importe quel véhicule sortant de l'imagination fertile d'un enfant. Tous purent aussi profiter de mon nouvel Atari 2600, gracieuseté de mon ami S. avec quelques jeux achetés pour l'occasion. River Raid, Space Invaders, Grand Prix, Snoopy VS the Red Baron, Enduro, Oink, et le plus populaire Chopper Command se firent de nouveaux fans en la personne de tous les enfants grands et petits présents.
Douce nous rendit visite à quelques reprises, quand son estomac lui permettait de parler. Elle était pâle, mais reprenait du poil de la bête. Quelques bains plus tard, nous étions de retour au point de départ de la journée, avec la promesse que demain serait encore meilleur!.
Douce n'ayant pas totalement terminé sa conversation de salle de bains, il a bien fallu lui trouver un remplacant pour la route. Quelques arrêts pour jaser plus tard, les items de dernières minutes étaient achetés, les enfants joyeusement cordés dans la voiture, le chien et le chat de mère rattrappés, frère et soeur nous attendaient déjà à la maison pour la fête. Où était donc passé le temps? Quelques sourires arrangèrent les excuses de mon retard, et les effluves de mes poitrines de poulets eurent tôt fait de faire oublier le restant. Les cousins s'amusaient dans le salon, à monter le dernier bateau pirate recu chez Mère. Il manquait quelque chose. Ah oui. Lucien Hétu. Aucun noël ne peut être complet sans un peu de Lucien Hétu et son orgue magique.
Une petite bière pour dessert, et du gateau pour les enfants. Les cadeaux se retrouvèrent rapidement dévoilés, certains n'étant pas du tout emballés.. faute de temps sans doute.. (je vous laisse deviner lesquels). Dr. J. et Mr. T. apprécièrent leur nouveau véhicule modulaire, qui pouvait se transformer en jeep, en moto, en hélicoptère, en jet, ou n'importe quel véhicule sortant de l'imagination fertile d'un enfant. Tous purent aussi profiter de mon nouvel Atari 2600, gracieuseté de mon ami S. avec quelques jeux achetés pour l'occasion. River Raid, Space Invaders, Grand Prix, Snoopy VS the Red Baron, Enduro, Oink, et le plus populaire Chopper Command se firent de nouveaux fans en la personne de tous les enfants grands et petits présents.
Douce nous rendit visite à quelques reprises, quand son estomac lui permettait de parler. Elle était pâle, mais reprenait du poil de la bête. Quelques bains plus tard, nous étions de retour au point de départ de la journée, avec la promesse que demain serait encore meilleur!.
Fêtes au carré
Au moment ou j'écris cette entrée, les éléments se livrent une bagarre sans merci à l'extérieur de ma maison centenaire. Le vent hurlant dehors et passant entre les murs de ma maison et celle du voisin crée une atmosphère digne d'un film d'horreur. Mais heureusement, il fait quand même une tempête à ne pas mettre un zombie dehors.. Toute cette neige qui tombe en fracas me rappelle agréablement le souvenir pas si lointain de ma soirée d'avant veille....
C'était au pied d'un mont de ski bien connu de la région, un soir d'hiver qui promettait d'être froid. Douce et moi allions à mon party de bureau, tous 2 coiffés d'un chapeau rouge orné d'une bordure blanche et d'un pompon de la même couleur, le type bonnet de père noël. Les enfants passeraient la nuit chez la grand-mère, et la soirée promettait d'être copieuse, autant au repas qu'à l'arrosage. Le vin coula effectivement à flot, et la bière également. Loin d'abuser de la boisson qui rends joyeuse, je ne pus quand même refuser de me faire payer quelques bières, pots-de-vins pour faveurs rendues à mes collègues de bureau. Quelques photos de tables plus tard, le repas d'un traiteur remplissait ses promesses, et nos estomacs étaient traités au petits oignons, au poulet, à la salade, aux desserts etc...
Sans doute grâce à l'alcool qui à pour effet de diluer la gêne et délier les langues, la soirée continua avec en trame sonore de fond un groupe de musique reprenant les grands succès québécois. Une rumeur de glisse nocturne en montagne parcourut rapidement les tables, et certains invités enfilèrent leur manteaux. L'occasion était trop belle pour la rater, et douce et moi en profitèrent. Rien de mieux pour apprécier l'hiver que d'aller glisser clandestinement sur des cabarets aux petites heures de la nuit, sur les pentes de ski obscures. Les joues nous en rougissaient de bonheur. L'euphorie passée, douce et moi étions en train de sérieusement porter atteinte à notre système de chauffage interne, et nous décidons de retourner à la maison, en rigolant de notre incroyable soirée jusqu'à la maison. Demain allait être prometteur, à la fois pour le réveil que pour la fête de mes jumeaux, qui allait y avoir lieu.
C'était au pied d'un mont de ski bien connu de la région, un soir d'hiver qui promettait d'être froid. Douce et moi allions à mon party de bureau, tous 2 coiffés d'un chapeau rouge orné d'une bordure blanche et d'un pompon de la même couleur, le type bonnet de père noël. Les enfants passeraient la nuit chez la grand-mère, et la soirée promettait d'être copieuse, autant au repas qu'à l'arrosage. Le vin coula effectivement à flot, et la bière également. Loin d'abuser de la boisson qui rends joyeuse, je ne pus quand même refuser de me faire payer quelques bières, pots-de-vins pour faveurs rendues à mes collègues de bureau. Quelques photos de tables plus tard, le repas d'un traiteur remplissait ses promesses, et nos estomacs étaient traités au petits oignons, au poulet, à la salade, aux desserts etc...
Sans doute grâce à l'alcool qui à pour effet de diluer la gêne et délier les langues, la soirée continua avec en trame sonore de fond un groupe de musique reprenant les grands succès québécois. Une rumeur de glisse nocturne en montagne parcourut rapidement les tables, et certains invités enfilèrent leur manteaux. L'occasion était trop belle pour la rater, et douce et moi en profitèrent. Rien de mieux pour apprécier l'hiver que d'aller glisser clandestinement sur des cabarets aux petites heures de la nuit, sur les pentes de ski obscures. Les joues nous en rougissaient de bonheur. L'euphorie passée, douce et moi étions en train de sérieusement porter atteinte à notre système de chauffage interne, et nous décidons de retourner à la maison, en rigolant de notre incroyable soirée jusqu'à la maison. Demain allait être prometteur, à la fois pour le réveil que pour la fête de mes jumeaux, qui allait y avoir lieu.
vendredi 14 décembre 2007
Le mélange du matin
Suite à la publication du dernier post, j'ai cru bon profiter pleinement de ma nuit, et pas nécessairement pour dormir. On aurait cru que l'adolescent boutonneux qui sommeille toujours en moi n'avait pas le goût de dormir, après toutes ces tâches ménagères passées à réfléchir ou écouter de la bonne musique forte. C'est ainsi que je me suis retrouvé devant un jeu de gameboy, Tétris Plus. J'avais passé une partie de la nuit d'avant-hier à passer le niveau 7, et j'ambitionnais bien me rendre plus loin que le niveau 20. Mais le niveau 20 est d'une difficulté partitulière, et vers 3h 30 AM, suite à une discussion impromptue via MSN avec une amie et ma douce qui s'était réveillée pour l'occasion d'un verre d'eau nocturne, j'ai baissé les bras, sans pour autant être fier d'avoir au moins passé 6 niveaux. Le lit m'accueillis draps ouverts, et je sombrai dans les draps de Morphée.
Ce matin, au réveil du cadran, il était doux le lit. Mais la douche qui suivit éveilla les sens et l'eau chaude matinale quotidienne eu son effet habituel. Il avait neigé cette nuit, de cette belle neige blanche qui n'a pas été soufflée par le vent, une petite neige fine mais une bonne couche épaisse. J'attendais avec impatience d'essayer ma nouvelle pelle fraichement achetée la veille. Le balai de garage eu tôt fait de nettoyer l'auto, quelques coups suffirent.
Au travail, une fois assis devant mon poste, un peu d'euphorie atteint mon cerveau, laissant derrière elle un brin de confusion. Un de mes amis m'avait apporté un nouveau film à écouter durant la nuit, glissant le boitier sous ma porte. Excellent. Peut-etre suis-je du pour un café. Mon collègue B. n'a pas manqué de m'envoyer la main, passant devant mon bureau. Ce sera une bonne journée, si les brumes pourtant pas si désagréables qui masquent mon cerveau se dissipent.. Coffee Time!
Ce matin, au réveil du cadran, il était doux le lit. Mais la douche qui suivit éveilla les sens et l'eau chaude matinale quotidienne eu son effet habituel. Il avait neigé cette nuit, de cette belle neige blanche qui n'a pas été soufflée par le vent, une petite neige fine mais une bonne couche épaisse. J'attendais avec impatience d'essayer ma nouvelle pelle fraichement achetée la veille. Le balai de garage eu tôt fait de nettoyer l'auto, quelques coups suffirent.
Au travail, une fois assis devant mon poste, un peu d'euphorie atteint mon cerveau, laissant derrière elle un brin de confusion. Un de mes amis m'avait apporté un nouveau film à écouter durant la nuit, glissant le boitier sous ma porte. Excellent. Peut-etre suis-je du pour un café. Mon collègue B. n'a pas manqué de m'envoyer la main, passant devant mon bureau. Ce sera une bonne journée, si les brumes pourtant pas si désagréables qui masquent mon cerveau se dissipent.. Coffee Time!
jeudi 13 décembre 2007
Première entrée non introductive officielle!
Voici officiellement la première entrée du blog du gars heureux.
Ce matin, le réveil fut matinal et doux, dans les bras de ma douce, bien au chaud. Un sourire et un baiser plus tard, j'étais parti travailler, bravant le froid polaire qui me rougissais le bout du nez, dans mon petit véhicule noir. Le trajet d'une demie-heure fut agrémenté de mon poste de musique classique-rock habituel, qui m'envoya comme d'habitude mes chansons préférées une après l'autre. La route était glacée, et chaque plaque de glace était un défi pour ma voiture, mais les défis ne me font pas peur, ils me tiennent réveillé.
Ma voiture qui cligne de l'oeil depuis une semaine et l'heure matinale de mon trajet me permis d'admirer à la dernière seconde un magnifique chevreuil, que mon phare gauche défectueux n'éclaira pas. Heureusement, le chevreuil était plus alerte que moi, et il m'évita avec grâce, d'un bond un peu plus précipité. J'arrivai donc à bon port, avec une bonne dizaine de minutes d'avance. Le long du trajet, mon estomac me rappela poliment qu'il était vide, et qu'il avait sans doute besoin d'un bon café, besoin que j'ai satisfait à mon arrivée au travail.
Bien assis à mon travail, le téléphone ne tarda pas à me procurer une tâche à faire, qui me prendrais surement la journée entière. Durant cette journée, cette tâche paralysa plusieurs collègues, les empêchant de travailler, et je profitai de leur attente pour me renseigner des derniers potins. Un des menuisiers se remets tranquillement mais surement de son opération à la main, une collègue a amené d'excellents amuses-gueules fait maisons, et de nouveaux développements pour un projet de pièce de théâtre sur lequel je travaille se sont concrétisés.
Le patron était nerveux ce matin, pendant la pause. Il avait sans doute eu des commentaires négatifs des gens avec qui il travaillait, mais il les prenaient avec un grain de sel, en pensant que les raisons de ces problèmes seraient bientôt réglés. Le petit dessert de la pause eu pour effet de satisfaire mon estomac encore vide, et ce dernier transmit son allégresse au restant du corps, me procurant une sensation de confort. J'ai bien fait de savourer lentement toutes les saveurs chocolatées de la bonne patisserie qui finirait par augmenter mon tour de taille.
La journée se déroula sans trop de heurts majeurs, j'ai pu avancer certains projets, d'autres par contre refusèrent obstinément d'avancer. Le retour allait être plus tard que d'habitude. Il faut que je me procure tous les trucs que je vais avoir besoin cette fin de semaine, pour la fête de mes jumeaux, et faire d'autres courses. Ma voiture obtint un nouveau phare, un nouvel essuie glace, remplacant l'ancien qui tenait pourtant fidèlement son poste à l'aide de ruban adhésif gris. Elle en vrombit de joie. J'en profitai pour me trouver un endroit enneigé et désert pour pratiquer une de mes petites joies hivernales, le dérapage controlé. L'arrière du centre commercial fut mon terrain de jeux, le temps de quelques dérapages controlés bien rattrapés. Ahh, les joies de l'hiver! Que de bonheur! Un concert live à la radio m'accompagna jusqu'à la maison. Curieusement, les respectables y chantèrent "L'argent, fait le bonheur"... C'est sur que ca aide, mais ya pas que ca.
La douce moitié de ma vie n'étant pas sur Internet à mon retour chez moi (nous restons dans 2 maisons séparées par une demie heure de route), je me contentai de remplir ce blog, pour vous, chers lecteurs, histoire de passer un moment agréable pendant que les électroménagers travaillent à rendre mon linge plus éclatant, et ma vaisselle étincelante, en pensant à demain, qui amène les enfants, et un party de noël du bureau!
Ce matin, le réveil fut matinal et doux, dans les bras de ma douce, bien au chaud. Un sourire et un baiser plus tard, j'étais parti travailler, bravant le froid polaire qui me rougissais le bout du nez, dans mon petit véhicule noir. Le trajet d'une demie-heure fut agrémenté de mon poste de musique classique-rock habituel, qui m'envoya comme d'habitude mes chansons préférées une après l'autre. La route était glacée, et chaque plaque de glace était un défi pour ma voiture, mais les défis ne me font pas peur, ils me tiennent réveillé.
Ma voiture qui cligne de l'oeil depuis une semaine et l'heure matinale de mon trajet me permis d'admirer à la dernière seconde un magnifique chevreuil, que mon phare gauche défectueux n'éclaira pas. Heureusement, le chevreuil était plus alerte que moi, et il m'évita avec grâce, d'un bond un peu plus précipité. J'arrivai donc à bon port, avec une bonne dizaine de minutes d'avance. Le long du trajet, mon estomac me rappela poliment qu'il était vide, et qu'il avait sans doute besoin d'un bon café, besoin que j'ai satisfait à mon arrivée au travail.
Bien assis à mon travail, le téléphone ne tarda pas à me procurer une tâche à faire, qui me prendrais surement la journée entière. Durant cette journée, cette tâche paralysa plusieurs collègues, les empêchant de travailler, et je profitai de leur attente pour me renseigner des derniers potins. Un des menuisiers se remets tranquillement mais surement de son opération à la main, une collègue a amené d'excellents amuses-gueules fait maisons, et de nouveaux développements pour un projet de pièce de théâtre sur lequel je travaille se sont concrétisés.
Le patron était nerveux ce matin, pendant la pause. Il avait sans doute eu des commentaires négatifs des gens avec qui il travaillait, mais il les prenaient avec un grain de sel, en pensant que les raisons de ces problèmes seraient bientôt réglés. Le petit dessert de la pause eu pour effet de satisfaire mon estomac encore vide, et ce dernier transmit son allégresse au restant du corps, me procurant une sensation de confort. J'ai bien fait de savourer lentement toutes les saveurs chocolatées de la bonne patisserie qui finirait par augmenter mon tour de taille.
La journée se déroula sans trop de heurts majeurs, j'ai pu avancer certains projets, d'autres par contre refusèrent obstinément d'avancer. Le retour allait être plus tard que d'habitude. Il faut que je me procure tous les trucs que je vais avoir besoin cette fin de semaine, pour la fête de mes jumeaux, et faire d'autres courses. Ma voiture obtint un nouveau phare, un nouvel essuie glace, remplacant l'ancien qui tenait pourtant fidèlement son poste à l'aide de ruban adhésif gris. Elle en vrombit de joie. J'en profitai pour me trouver un endroit enneigé et désert pour pratiquer une de mes petites joies hivernales, le dérapage controlé. L'arrière du centre commercial fut mon terrain de jeux, le temps de quelques dérapages controlés bien rattrapés. Ahh, les joies de l'hiver! Que de bonheur! Un concert live à la radio m'accompagna jusqu'à la maison. Curieusement, les respectables y chantèrent "L'argent, fait le bonheur"... C'est sur que ca aide, mais ya pas que ca.
La douce moitié de ma vie n'étant pas sur Internet à mon retour chez moi (nous restons dans 2 maisons séparées par une demie heure de route), je me contentai de remplir ce blog, pour vous, chers lecteurs, histoire de passer un moment agréable pendant que les électroménagers travaillent à rendre mon linge plus éclatant, et ma vaisselle étincelante, en pensant à demain, qui amène les enfants, et un party de noël du bureau!
Historique du gars heureux
Né dans une petite ville joyeuse, le gars heureux a eu une enfance heureuse, à l'abri des intempéries, dans une petite banlieue campagnarde, près des fermes, des champs, d'une rivière tranquille, d'une forêt paisible. La trentaine, la bedaine, la petite vie de famille à temps partiel. A temps partiel? La garde partagée une fin de semaine sur deux. Père de trois enfants de moins de 7 ans et moins, dont 2 atteints d'une maladie génétique grave, né d'une famille catholique, mais devenu athée parce que Dieu ne s'est pas encore manifesté comme dans la bible, et que ce Dieu a repris la vie de son père, un catholique des plus pratiquants, d'une manière des plus cruelles. Il a trouvé le secret du bonheur, et par ce blog, il va tenter de vous le transmettre, et ce, gratuitement, sans séances de motivations à grand frais, sans musique de relaxation douteuse, sans thérapies de groupes, mais dans le seul but de vous communiquer son état de bien être, ou encore, de sa manière de trouver le bonheur dans toutes les situations de la vie quotidienne.
Pourquoi le gars heureux?
Parce que je veux terminer le malheur du monde. J'ai ma propre dose de choses qui me rendent malheureux, mais j'ai décidé aujourd'hui de trouver le positif dans tout, et de voir les choses d'une perspective du gars heureux, dans le but de l'être. Voici donc par ce blog l'ensemble des malheurs qui font de moi un gars heureux!
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